samedi 20 octobre 2007

Il neige !!!!!!!!!!!!

La preuve en image:


jeudi 18 octobre 2007

Potlocksupper

Titre évocateur, n’est ce pas !

L’international comité de SLU a organisé ça mardi soir. Le principe : chaque pays préparait un plat typique. On avait pour cela la belle cuisine de la maison des étudiants (nommée Skogis ou Blue House, devinez pourquoi !). En tant nantaise, j’ai décidé de faire des crêpes. Malheureusement, je me suis trompée de farine et j’ai acheté de la complète !! Donc on a obtenu, après un rattrapage de la pâte par Quentin, quelque chose de plutôt bon mais qui n’était pas du tout des crêpes. Je trouve que ça ressemblait plutôt aux galettes de pommes de terre que nous avaient faites les tchèques ! Comme toute nouvelle recette mérite un nom, nous avons baptisé celle-ci « french disaster » !!
Sinon au menu, couscous espagnol du Maroc, bretzel, salade de patates allemande, plus pleins d’autres plats dont je ne sais pas le nom. Mais bien sûr aussi des spécialités suédoises : boulettes de viandes, trois types de harengs (tous sucrés, bien sûr !), pains suédois, boules qui ressemblent à des patates mais qui n’en sont pas (je pense que c’est à base de farine) et deux boissons suédoises à bases de baies.

Première « crêpe » : comme ça, ça ressemble plutôt à une galette. Vous avez la photo avant le retournage de crêpe, je crois que c’est mieux !


Kathrin et Sarah pas convaincues par notre recette, surtout en cet instant de retournement !

Au bout d’un moment, on a quand même trouvé le truc : faire des petites crêpes sur la plaque où avaient cuit les boulettes de viandes précédemment

La nourriture nous attendant bien au chaud

Faire cuire un œuf demande beaucoup de concentration, n’est ce pas Joaquin !

Mickael et son bretzel


Voilà le genre de ptites bébêtes que l’on peut rencontrer dans la Blue House

Distance samplig

Grâce à moi, vous allez tout savoir sur les techniques de recensement ! Pour appliquer distance sampling, on marche le long d’une ligne dans la forêt en observant des animaux. A chaque fois qu’un animal est vu, on mesure sa distance à la ligne. Cette méthode n’impose pas de voir tous les animaux présents.
Voilà la théorie. Pour nous, la pratique a consisté à estimer la population de … bouts de bois (type grand cure dent) plantés dans la forêt !!! Ceux qui les ont plantés ont dû bien s’amuser car il y en avait tout de même 1500 !!
Le matériel nécessaire pour effectuer ce recensement de bout de bois :
- des rubans accrochés aux arbres pour matérialiser la ligne où il faut marcher
- une corde à traîner derrière soit pour pouvoir mesurer des distances précises

- un mètre
-
crayon et papier

Photo de moi résumant tout le matériel nécessaire

Pour faire l’étude, on est deux : un qui repère les bouts de bois et mesure les distances ; l’autre qui suit derrière et note. Heureusement qu’on n’est pas obligé de voir tous les bouts de bois avec cette méthode car, à votre avis, à partir de quelle distance on commence à ne plus voir tous les bouts de bois ? Il s’est avéré que pour Kathrin et moi, cette distance était d’environ… attention, tenez vous bien… 2 cm !!! Et oui, on n’a pas vu pleins de bouts de bois proches de nous et même une fois Kathrin a marché sur un sans le voir ! Essayer et vous verrez que même si on pense que c’est facile à voir, on en manque pleins proche de nous car l’œil est plus habitué à voir au loin.

Photo de moi mesurant une distance

On a fait cette application lundi et on a analyse les résultats les deux jours suivant, c’était moins drôle, surtout quand le logiciel ne marchait pas !

samedi 13 octobre 2007

Biking

Voici quelques photos de ma ballade en vélo de ce matin le long de la rivière Ume.


Campagne typiquement suédoise avec tout plein de petites cabanes au milieu des champs.

Juste pour montrer qu'il fait froid ! (~5°C en milieu de journée) Même la rivière a commencé à geler : le patinage est pour bientôt !

Photo rigolote

Je ne crois pas que j'ai déjà mis cette vue du centre ville : on peut y voir l'église ainsi qu'un vieux bâtiment

Joli bâtiment du centre ville (ne m'en demandez pas plus !)

vendredi 12 octobre 2007

Telemetry

Nouvelle technique, cette fois pour suivre les déplacements des animaux, par exemple des élans. Nous devions à l'aide d'une grande antenne receveuse localiser des colliers émetteurs qui sont normalement sur des animaux, mais qui, comme ce n'était qu'un exercice d'application, avait été cachés dans la forêt proche de l'université (c'est à dire à environ 30 secondes à pied de l'université) par notre prof. Nous étions par groupe de trois et chaque équipe disposait d'une grande antenne relié à un récepteur qui émet des petits bip. Quand l'antenne est tournée en direction du collier, les bip sont plus forts. Ainsi, par une méthode de triangulation, on était censé retrouver les coordonnées de trois colliers. Mais, cet exercice est plutôt difficile car la différence entre un bip faible et un bip fort est parfois très dure à percevoir et dès fois une zone plutôt grande est couverte par des bip forts donc les directions ne sont pas très précises. Et encore, nous avions la chance que ce ne soit qu'un exercice avec des colliers immobiles !

Moi avec l'antenne et le récepteur qui fait bip dans l'autre main

Mise en scène : l'élan Martin a son collier émetteur autour du cou et Quentin essaie de localiser sa position (cette fois ci avec une petite antenne)

mardi 9 octobre 2007

Coucher de soleil et nouvelles

Voici quelques photos de coucher de soleil prises hier soir (un peu après 18h !) en allant faire les courses. Bien que la couleur du ciel puisse être trompeuse, les photos sont bien rangées par ordre chronologique.



Et maintenant, petit résumé des deux dernières semaines écoulées : cours (pas trop : au plus deux heures par jour, il ne faut pas trop nous fatiguer, nous sommes fragiles !) ; rédaction du projet (ça, ça prend déjà beaucoup plus de temps) ; soirées. Mais aussi, et très important, j’ai commencé à apprendre le suédois ! En fait, il y a des cours à l’université mais ils sont pleins depuis longtemps et donc je n’ai pas pu y aller. C’est pour ça qu’on (on = moi + 4 autres Erasmus) a décidé de s’autoformer au suédois : on a donc eu pour l’instant un cours vendredi, aidés d’un livre et d’un suédois en chair et en os pour la prononciation. C’est sûr qu’au final ça ne vaudra pas de vrais cours comme à l’université, mais c’est mieux que rien.