jeudi 27 septembre 2007

Wildlife triangle

Encore une sortie avec mon cours, j'adore !
Cette fois ci c'était pour compter des oiseaux : on a marché par équipe de trois ou quatre personnes dans la forêt en suivant la forme d'un triangle équilatéral dont les cotés faisaient un kilomètre de long et on a recensé les "grouses" (=tétras) qu'on voyait. On se dirigeait à l'aide d'un GPS (on avait aussi une boussole au cas où si le GPS tombait en panne : il y a quelques années, des élèves se sont perdus et ils ont marché plusieurs heures avant de retrouver les autres !). On a ainsi pu voir des capercaillies (grand tétras : grand oiseau protégé et rare en France mais chassé en Suède, ce qui veut dire qu'il n'est ici pas du tout menacé) et des willow grouse (je ne connais pas le nom français, désolé). C'était vraiment super sympa de se balader comme ça dans la forêt à observer les oiseaux, et en plus, il faisait super beau.
Et puis après, nous avons appliqué une autre méthode de recensement : le comptage des crottes ! Grâce à ça, j'ai maintenant quatre mots dans mon vocabulaire anglais pour dire fèces, la classe ! Avant de se lancer, nous avons tout d'abord ramassé les déjections de plusieurs animaux afin de savoir les reconnaître, puis nous avons appliqué cela pour les élans. Cette méthode nous a permis de voir que même si on ne les voit pas, les animaux sont bien présents.
Vraiment ce cours est super, notamment grâce à ces nombreuses mises en pratique.
Collection d'excréments

Sinon, hier soir, c'était dîner tchèque : encore une soirée très sympa entre Erasmus. Au menu : galettes de pomme de terre à l'ail (beaucoup beaucoup d'ail, vraiment trop d'ail !) fourrées avec du chou. C'était plutôt bon, mais vous l'aurez compris vraiment trop aillé !

lundi 24 septembre 2007

Hiking dans les montagnes suédoises

C’était super !! Magnifique !!! Magique !!! Moi qui m’attendais à quelque chose de joli, je n’est pas du tout été déçue : c’était vraiment merveilleux !!!!

Nous sommes donc partis vendredi après midi en mini bus que nous avons loué pour l’occasion. Après cinq heures de route, notre petite troupe de neuf personnes arrive à Ammarnäs : petit village touristique situé à l’entrée de la réserve naturelle

Localisation d'Ammarnäs

Nous cherchons alors l’auberge de jeunesse pour y passer la nuit. Mais problème, arrivé à l’auberge, on entre, mais personne à l’intérieur. Heureusement, on a fini par croiser un couple qui passait eux aussi la nuit à l’auberge et qui nous ont dit qu’on pouvait prendre une chambre et qu’on verrait le lendemain avec les propriétaires. Après le dîner, partie de « Uno » avec les Tchèques (Sylva, Lukasz, Mary et Daniel), les autres étant allés se coucher. Ce qui fait que maintenant je parle mieux tchèque que suédois ! J’ai en effet appris à dire les couleurs du Uno (vert, bleu, rouge et jaune), mais aussi bon appétit et merci.

Le lendemain matin, départ pas du tout aux aurores puisque nous devons attendre l’ouverture de la supérette (9h) pour acheter de quoi manger le soir puisque nous allons dormir dans un refuge. Deux chemins se proposent à nous pour se rendre au refuge : deux allemandes (Sarah et sa copine Julia venue lui rendre visite) choisissent le plus court et tous les autres le plus long, sachant qu’on prendrait l’autre chemin le lendemain. Dès le départ, Kathrin et Aïda partent devant donc je reste avec les tchèques et nous faisons toute la ballade ensemble.

Cette randonnée était vraiment féerique. C’était varié aussi bien du point de vue du paysage (forêts, steppes, lacs et rivières) que du temps : on a en effet eu beau temps, tempête de neige, de grêle et pluie ! Mais les averses étaient toujours courtes et n’ont pas eu le temps d’affecter notre bonne humeur.

Ci dessous, petit échantillonage du premier jour de ballade : ça a été très dur de choisir les photos, c'est pour ça qu'il y en a beaucoup !!

Première rivière que nous avons traversé

Vue sur le lac d'Ammarnäs

Forêt au couleur de l'automne

Premier refuge croisé après 8 km de marche et découverte des monts enneigés !

Ces croix indiquent le chemin, on a compris leur utilité quand on marchait dans la neige




Paysages enneigés

Petit refuge en haut de la montagne : il y a un poële, du bois, une trousse de secours et l'on peut y dormir en cas d'urgence (sinon, c'est interdit)


Outre les refuges, d'autres aménagements existent sur les chemins de randonnées suédois : des planches de bois sont placées pour traverser chaque zone boueuses. Malheureusement, le bois humide, ça glisse ! ce qui fait que je me suis cassé la figure le deuxième jour !

Et on a même vu des rênes !! En voici un au loin

Au total, nous aurons donc parcouru 27 km le premier jour. La fin, bien que plate, a vraiment été dure car on était crevé, mais ça en valait le coup !

Voici le refuge, tenu par une très gentille dame, où l'on a dormi

Et maintenant les photos du deuxième jour (10 km de marche environ) : c'était joli, mais comparé à la veille, c'était plutôt décevant car très répétitif.

Moi, pour une fois



A peine arrivés au parking, nous reprenons la route pour Umea. On a proposé de faire un détour par la Norvège mais certains ont refusé prétextant qu'ils avaient cours lundi...

Et enfin, photo bonus : des drôles de rênes !
Comme je n'ai pas dégainé mon appareil photo assez vite, je n'ai pas Kathrin avec ces cornes. Donc de gauche à droite et de haut en bas, je vous présente :
- Kathrin, allemande et Aïda, espagnol
- Sarah, allemande
- Julia, allemande aussi (elle n'est pas Erasmus avec nous mais était venu voir Sarah)
- Moi
- Aïda
- Daniel, tchèque
- Mary, tchèque
- Lukasz, tchèque
- Sylva, tchèque

vendredi 21 septembre 2007

Umeladenskulturepark

Comme il fait beau depuis quatre jours, j'en ai profité pour visiter un parc de sculptures d'art moderne hier.

Une "maison" fait de cageot en plastique !


Cette oeuvre est intitulée Kaos


De loin, on se demande l'intérêt de ce fauteuil posé au milieu du parc. Je n'ai compris qu'en le touchant pourquoi c'était une oeuvre : il est fait en béton (mais on dirais vraiment un vrai, même de près !)

Parfois, comme c'est le cas pour la photo ci dessous, je me suis demandé si c'était une oeuvre ou pas


Et voilà mes préférés :




Et enfin un panneau très rigolo !

Je pars cet après midi et jusqu'à dimanche faire de la rando dans les montagnes : j'espère qu'il ne fera pas trop froid, mais il parait qu'il a neigé là bas il y a deux semaines.

Bisous à tous

Ville et paysage

Ci dessous une autre photo du centre d'Umeå puis une jolie photo de la rivière Ume


dimanche 16 septembre 2007

Soirée tartiflette et barbecue

Vendredi soir, c’était dîner français chez Quentin (car sa cuisine est plus grande que la mienne) et c’est moi qui préparait le repas. Et comme on était beaucoup (13), je me suis dit que ça allait être dur et très long de faire des crêpes. J’ai donc pensé à une tartiflette, parce que ce n’est pas trop compliqué à faire et que c’est bon. Pour faire les courses, j’ai recruté un homme fort pour porter les patates et le reste !
Mais bien sûr, on est en Suède ici, donc ils ne connaissent pas le reblochon (bien qu’il y ait quelques fromages français au supermarché). J’ai donc acheté une « tome » de deux kilos de fromage premier prix. Je l’ai goûté avant de commencer à préparer la fameuse tartiflette et il n’était vraiment pas bon ! Mais de toute façon je n’avais pas le choix. Donc me voilà à cuisiner pour tout ce petit monde, aidée par trois Tchèques que j’ai réquisitionné. Épluchage des patates, coupage des oignons, cramage des lardons (mais ils étaient encore mangeable, ouf !) puis mise dans les plats qu’il a fallu chercher un moment dans cette cuisine qui n’est pas la mienne car ils étaient bien cachés et enfin mise au four. Et, ô miracle, une trentaine de minutes plus tard, malgré le fromage de mauvaise qualité, le four dégage une odeur très agréable. Les invités arrivés, on se met à table ; et tout le monde se régale ! Bien sûr, c’est carrément meilleur avec du reblochon mais ça allait quand même. Ce diner se termine par un gâteau marbré fourré à la confiture fait par Aïda, mais elle m’a dit qu’elle n’était même pas sûre que se soit de la confiture car c’était très gélatineux, c’est le désavantage de ne pas comprendre ce qu’il y a marqué sur les emballages ! Puis Quentin nous a fait une petite démonstration de violon, tout le monde était conquis. Et enfin, jungle speed !!!


Et hier soir samedi, petite soirée barbecue au bord du lac. Malheureusement le beau temps n’était pas au rendez-vous. Mais heureusement les suédois aiment faire des barbecues et sont très bien organisés : il y a donc de nombreux refuges pour barbecue avec de quoi faire un feu au milieu de la cabane, et du bois mis à disposition. Malgré le feu, il faisait quand même un peu frisquet. Au menu, saucisses et marshmallows grillés.
Martin avait apporté des « snus », et comme c’est quelque chose de typiquement scandinave (puisque c’est interdit ailleurs en Europe), j’ai essayé. Un snus est un petit sachet rempli de tabac que l’on place sous sa lèvre supérieure et on laisse la nicotine diffuser. L’avantage par rapport à la cigarette est qu’il n’y a pas d’effet pour les non-consommateurs (pas de tabagisme passif). De nombreux suédois consomment ce tabac ; les initiés utilisent du tabac qui n’est pas dans un petit sachet et font une boule avec avant de le glisser sous leur lèvre. Quand on ouvre une boîte de snus, l’odeur est vraiment insupportable mais heureusement ça n’a pas se goût là quand on le consomme : le goût n’est pas trop désagréable. Je ne l’ai gardé dans la bouche que cinq minutes et je me sentais déjà bizarre après !
Enfin, on est rentré sous une nuit noire par un chemin non éclairé. Sur les dix que nous étions, heureusement qu’un avait des lumières sur son vélo et qu’un autre avait une lampe frontale ; je ne sais pas comment on aurait fait autrement !
Morale : il faut vraiment que je m’achète des lampes pour mon vélo en prévision de la nuit qui va tomber en plein milieu de l’après-midi !

Ci-dessous une photo d’une boîte de snus :

jeudi 13 septembre 2007

Electrofishing

Ce matin, lever matinal car début des cours à 8 heures ! En fait, on ne commence si tôt que lorsqu'il y a des sorties ! C'est ainsi que, comme l'annonce le titre, nous sommes allés faire de l'electrofishing aujourd'hui. Pour ceux qui ne parleraient vraiment pas un mot d'anglais, ça signifie pêche électrique. Par contre et j'en suis désolée, vous ne verrez ici pas de photo car j'avais oublié mon appareil. Mais je vais essayer d'emprunter celles prises par d'autres, donc vous verrez peut-être des photos de cette excursion plus tard.

Qu'est ce que l'electrofishing ? En quoi ça consiste ? Et comment ça se pratique ? En fait, j'ai déjà répondu à la première question avant ! L'electrofishing se pratique aussi bien dans les rivières que dans les lacs, à pieds qu'en bateau. Le but est, en créant un courant électrique dans l'eau, de paralyser momentanément les poissons pour pouvoir les attraper et ainsi d'estimer la taille de la population. Cette technique de recensement est sans danger pour les poissons (si on la pratique correctement !), donc à la fin de l'expérience, on les relâche ; donc pas de "gâchis écologique" comme pour la pêche de la semaine dernière où tous les poissons étaient morts.

Comme matériel, on a besoin de :
- un générateur et un transformateur qui restent sur la rive
- une cathode qui trempe dans l'eau
- un câble électrique relié à l'anode (ces deux matériels trempent aussi dans l'eau !)
- une anode qui permet d'attirer les poissons (le pêcheur marche avec l'anode dans la rivière)
- une équipe de deux personnes
- une épuisette pour ramasser les poissons

Pour cette mise en pratique, nous sommes allés dans une petite rivière (environ 2 mètres de largeur) à 20km à l'ouest d'Umeå. Chaque équipe de deux personnes à revêtis une magnifique paire de waders (désolée, je ne connais pas le nom en français ! Ce sont les bottes-pantalon imperméables des pêcheurs pour aller dans l'eau sans se mouiller). Puis, le fisherman - c'est celui qui tient l'anode et l'épuisette - commence à ratifier la rivière en remontant le courant. L'assistant, quand à lui, suit le fisherman avec le fil électrique qui le relie au générateur.

Avant cette excursion, on nous avait bien dit que cette technique était dangereuse : c'est sûr qu'électricité et eau ne font pas bon ménage ! donc on était pas très très rassurés en y allant. Mais tout c'est bien passé, il suffit de suivre les consignes de sécurité.

Comme c'est la première fois que l'on pratiquait ce type de pêche, on a pas été très efficaces et on a laissé s'échapper beaucoup de poissons. Pour ma part, j'ai réussi á attraper 6 poissons, mais je crois que j'en ai laisse s'échapper autant ! Katerin, l'allemande qui était dans ma team a fait aussi bien que moi.

Il ne nous reste donc plus qu'à analyser les résultats demain, à rédiger un rapport et à préparer la présentation orale.

J'espère que la description a été assez claire et que j'aurais bientôt des photos pour illustrer tout ça.

Hejdå !

lundi 10 septembre 2007

Umea, la ville aux 110 000 vélos

Le chiffre de 110 000 est une approximation de ma part mais je ne pense pas être très loin de la réalité. Donc, oui, ici, le vélo est indispensable. Pour ma part, j'ai acheté le mien trois jours seulement après être arrivé.
Voici donc mon beau vélo... qui a déjà crevé quatre fois tellement son pneu arrière est fin ! Heureusement que le magasin où je l'ai acheté le répare gratuitement. Mais il a quand même fallu que je me tape quatre fois 30 minutes de marche à coté de mon vélo pour attendre ce foutu magasin. Ça fait aujourd'hui pile une semaine qu'il ne lui est rien arrivé, j'espère que ça va durer !

Ici, tout est fait pour les vélos : on trouve de partout des "pistes cyclables", qui sont en fait des routes pour véhicules non motorisés et pour piétons. Mais ce n'est pas comme chez nous, c'est carrément des vraies routes qui sont à part des routes de voitures. Il y a donc un réseau très développé de ces "pistes cyclables", je pense même qu'il est plus développé que les routes pour voitures. Je crois qu'en hiver, pas mal de ces routes vont devenir des pistes de ski de fond.
Quand je dis qu'ici les vélos sont rois, ça veut aussi dire que dès qu'une voiture voit un vélo qui s'approche pour traverser la route, elle s'arrête. Par contre le problème, c'est que dès fois il y a vraiment beaucoup de monde : par exemple, ce matin, j'ai pris pour aller à l'université le chemin que prennent tous les étudiants (d'habitude je prend un autre chemin parce que la partie où j'étudie est un peu excentrée du reste de l'université) et c'est horrible, il y a des vélos qui débouchent de partout ! J'ai failli plusieurs fois avoir des collisions. Sans compter les nombreux piétions...
Mais le problème, c'est pour trouver une place dans le garage à vélo le soir !

Panneau indiquant les routes pour vélos et piétons

Piste cyclable, prise sur le vélo !
Une autre au bord de la rivière

Et enfin dans un parc

Je profite de ce message pour mettre une photo de mon université, car j'ai enfin pensé à prendre mon appareil photo aujourd'hui :


Photos de la ville

J'ai essayé de prendre quelques vues générales d'Umea, ce qui n'est pas très très facile car c'est une région plutôt plate et il n'y a pas non plus de grands immeubles.



Je pense qu'on peut quand même voir sur ces photos que la ville n'est pas très dense. On peut également voir l'église : oui oui, c'est bien le petit clocher que vous voyez ! Bien sûr, c'est le centre ville que l'on voit !

Visite du musée Västerbottens

Hier dimanche, je suis allée au Västerbottens Museum, Västerbotten étant la région d'Umea.

Ce musée est divisé en pleins petits musées. Malheureusement, tout était écrit en Suédois ! Il y avait quelques papiers en anglais plus un en français sur le musée extérieur, qui était malheureusement fermé ! Par contre, et c'est une bonne chose, en Suède, tous les musées sont gratuits car l'Etat à voulu privilégié l'accès à la culture pour tous.

J'ai commencé par le musée décrivant l'histoire de la région : heureusement qu'il y avait des petits dessins explicatifs sur, par exemple, comment les hommes préhistoriques chassaient l'élan car j'ai pu comme ça comprendre quelques trucs.

Puis le musée du ski qui retrace son histoire. On pouvait y voir une grande collection de skis :
Ces skis sont rangés du plus vieux (18ème siècle sur la droite) à des plus récents sur la gauche. Et ça continuaient plus loin pour remonter jusqu'à aujourd'hui.
On peut ainsi voir que la forme des skis a beaucoup varié selon les époques : il y a eu des skis très grands (plus de 3 mètres) pour atteindre aujourd'hui 1m70 ; et la largeur peut varier de 40mm à 20cm.

Je trouve ces skis très rigolos, bien que je ne comprenne pas trop l'intérêt des bouts de ficelle...

On y voyait aussi une collection de raquettes :
Même les chevaux avaient les leurs, la preuve :

Mais le clou du spectacle de ce musée du ski était les skis les plus vieux du monde ! En voici une photo :
Et là, vous devez vous demandez, mais quel âge peuvent bien donc avoir ces skis ?? Grâce à la datation au carbone 14, il a été montré que ces skis ont 5 200 ans. Et oui, on faisais déjà du ski plus de 3000 ans avant J.C. !
Petite description de ces skis pour les intéressés :
Et pour ceux qui se demandent à quoi servait la spatule, et ben c'était tout simplement leur bâton de ski ! :
Maquette représentant un homme préhistorique faisant du ski.

Un peu plus loin, dans le musée de ? (je ne me rappelle plus le nom, c'était une exposition temporaire qui parlait des hommes de l'âge de pierre), il y avait une hutte reconstituée :
Je ne sais pas si ça se voit bien sur la photo mais cette hutte est faite d'écorce de boulots !

Bien sûr, j'ai également pu voir quelques animaux empaillés tels ce renne :
et des bois de "elk", ou "moose", c'est comme vous préférez ! :

Ensuite il y avait un autre musée sur je ne sais quoi : le nom était en suédois et n'avait rien de compréhensible. J'ai eu l'impression qu'ils y avaient entassés tout ce qu'il trouvaient, comme par exemple ces magnifiques fleurs :
Dans cette même partie, il y avait quand même deux trois trucs marrants. Par exemple, l'"homme bois" et la "femme légume" ! :

Et enfin, il y avait également un musée de la pêche et un musée extérieur, mais ils étaient fermés. Le musée extérieur était en fait composé de bâtiments anciens que j'ai donc pu voir (mais je n'ai pas pu y rentrer) ; et il n'est ouvert qu'en été où, comme au Canada, il y a des personnes en tenues d'époque pour expliquer la vie d'autrefois.
Moulin à vent, un des bâtiment présenté dans le musée en plein air

Et j'oubliais, il y avait aussi un musée d'art mais il sont en train de changer d'exposition donc il n'y avait que quelques photos pas terribles !

Cette description donne peut être l'impression d'un très grand musée, mais en fait chaque musée est très petit donc au final, ça ne fait pas très grand.